Depuis hier, les officiers supérieurs de l’Armée nationale (FACA) examinent le Plan National de défense validé en 2017 par le chef de l’Etat Faustin Archange Touadéra. Au centre de cette rencontre l’épineuse question des ressources humaines considérées comme un vecteur de relèvement de l’armée.
L’objectif est de discuter de la mise en œuvre du plan national de Défense qui prévoit l’intégration des nouvelles ressources telles que les USMS prévues dans l’accord de paix signé le 6 février entre le gouvernement et les groupes armés.
Cette approche est un moyen pour l’armée nationale d’augmenter ses effectifs dans le pays afin de redéployer les FACA sur l’ensemble du territoire.
« Le Plan National de Défense est notre guide pour toutes les initiatives et les programmes d’activités initiés au niveau du département. Nous avons signé un accord et il y a d’autres aspects de l’accord qui interpellent. Et c’est pourquoi nous avons envisagé échanger autour de ces questions », a indique Marie Noëlle Koyara, ministre de la Défense nationale.
Les travaux ont pris fin aujourd’hui à Bangui avec des séries de recommandations d’action en faveur de la redynamisation de l’armée.